Il faisait un temps magnifique ce samedi 2 juin à Chassieu
L’ABCH avait fait les choses en grand. L
e soleil illuminait le tapis rouge déroulé, s’il vous plait !, pour accueillir les participantes à ce deuxième tournoi féminin, organisé cette année (après Saint-Etienne l’année dernière) par le club chasseland.
Quatorze participantes venues des clubs de l’agglomération bien sûr, mais aussi de Saint-Etienne, Bourgoin, Annecy, Valence, étaient prés
entes pour un weekend end de jeu et de formation, laquelle fut assurée le dimanche par Renaud Berrin.
Samedi fut consacrée au tournoi. Joueuses aguerries ou débutantes, hésitantes ou déterminées, chacune a pu se faire plaisir avec trois ou quatre billes, handicap ou pas, sous l’œil attentionné des quelques messieurs « privilégiés » en charge de veiller au bon déroulement de cette journée.
Grand Grand merci André, Charles et Manuel pour votre accueil et votre gentillesse.
Il y eu du beau jeu, il y eu de la concentration, il y eu du sérieux (un peu), il y eu des rires (beaucoup), il y eu même d’illustres visiteurs. Bref le billard féminin a de beaux jours devant lui.
Enfin cerise croix-roussienne sur ce gâteau chasseland, c’est Pascale qui remporta haut la main la finale du tournoi. Bravo Pascale !
Une dernière mention pour Myriam, l’instigatrice de ce weekend. Myriam c’était super !
Oui une bien belle journée
À l’année prochaine donc, encore plus nombreuses, pour de nouvelles aventures du billard au féminin !
à l’ensemble des membres du club, des contacts par-ci par-là, quelques appels téléphoniques dans nos entourages, et on verra bien nous étions nous dit.
u CCA pour célébrer le 174ème anniversaire du club et le franchissement du cap des 100 licenciés FFB.




sujet de recherche au CNRS : la turbulence. Ce processus, qui diffuse et organise l’énergie dans les fluides, résiste depuis plusieurs siècles aux mathématiciens, physiciens et ingénieurs. Pourtant, il est au coeur de nombreuses applications : transport, environnement, production d’énergie. Pour la modéliser, il faut avoir recours aux calculateurs les plus puissants de la planète. Mais comment un simple fluide mis en mouvement peut-il donner autant de fil à retordre aux scientifiques ?